compostage
Ici, je vous propose un petit chapitre sur le compostage.
Depuis l’installation en appartement de mes toilettes sèches, mon jardin s’est enrichi de 2 composteurs dit « thermiques » qui ne sont rien d’autre que des blocs plastiques perforés.
J’ai toujours beaucoup de réticence à installer du plastique dans le jardin, mais quelques avantages m’ont fait pencher pour cette solution.
Je tourne donc sur trois tas :
Depuis l’installation en appartement de mes toilettes sèches, mon jardin s’est enrichi de 2 composteurs dit « thermiques » qui ne sont rien d’autre que des blocs plastiques perforés.
J’ai toujours beaucoup de réticence à installer du plastique dans le jardin, mais quelques avantages m’ont fait pencher pour cette solution.
- J’habite dans une ancienne maison, de 3 appartements et suis évidemment la seule à utiliser des toilettes à compost. Dans la mise en service de ces composteurs, j’y voyais un aspect «discret».
- Cela permet aussi d’éviter que les enfants aillent jouer sur un tas de compost où des excréments sont entreposés.
- Ces blocs gagnent aussi un peu de place par rapport aux tas d’un compost à ciel ouvert, et oui, les tas ont tendance à s’étaler !
- Après quelques mois, je dois avouer que je ne suis pas certaine que les transformations en humus gagnent en rapidité.
- On ne peut pas non plus donner un coup de fourche pour mélanger la matière ce qui me semble pourtant un bon moyen d’activer le processus.
- Le premier composteur s’est rempli un peu vite en raison d’une utilisation un peu exagérée de sciure - il y a des enfants qui adorent ça !
Je tourne donc sur trois tas :
- 1 composteur plein, en sommeil pour les 6 prochains mois
- 1 composteur en court de remplissage
- 1 tas de compost en fin de maturation où je déverse régulièrement un peu du contenu du premier composteur et où les autres habitants de la maison déposent leurs déchets de cuisine.